De par la prolifération de la technologie connectée, un accord à Bruxelles propose la protection « By Design » des appareils connectés. Une action qui a pour objectif principal de renforcer la cybersécurité, et ce, à la source même.
Intégrer une mesure de protection numérique « By Design » des appareils connectés, voilà l’accord discuté à Bruxelles. Un moyen de protéger les objets connectés de divers risques numériques dès le départ.
Protection By Design des appareils : vers une cybersécurité proactive
La connectivité touche actuellement les machines et équipements du quotidien comme les télévisions, les jouets et autres appareils.
S’il s’agit d’un atout réel, offrant un gain de temps considérable, cette avancée technologique présente également des risques. En effet, la présence d’objets élargit le champ d’action des hackers et des systèmes malveillants. De cela est née une cybersécurité fragile, parfois incapable d’anticiper les potentielles menaces.
C’est de cette situation de base qu’un accord à Bruxelles propose la mise en place d’une mesure de protection numérique « By Design pour ce type de matériel. Cela signifie que les dispositifs intègrent des mesures de sécurité dès leur élaboration, plutôt que de les ajouter par la suite. Cet accord vise principalement à anticiper les risques.
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Une urgence en matière de cybersécurité !
La mise en place de cet accord de protection « By Design » pour les appareils connectés est d’une importance capitale.
Les objets connectés commencent à intégrer de manière complète notre vie. Pourtant, les défis au niveau de la cybersécurité ne cessent de croître. Des appareils connectés à faible protection représentent des points d’entrées pour des cyberattaques. Les conséquences peuvent être critiques, surtout lorsqu’il est question d’appareils susceptibles de contenir vos informations personnelles.
Ainsi, l’accord à Bruxelles représente une réponse proactive à ces défis. Il souligne l’importance cruciale d’une protection « By Design ».
