La Russie, de par des cyberattaques ciblées, a pu recueillir des données importantes afin de dominer l’OTAN. De ce phénomène naît une guerre de nerfs ainsi qu’un climat géopolitique d’autant plus tendu.
Accusée de cyberpiratage et de vol de données en masse, La Russie a désormais les capacités de menacer et dominer l’OTAN. Une situation critique et inquiétante qui instaure des incertitudes, surtout de par l’avènement des élections britanniques.
Russie et Otan, les données comme arme de contrôle !
Les menaces au niveau de la cybersécurité sont de plus en plus croissantes.
La Russie, pointée du doigt par le gouvernement britannique, n’est pas en reste. En effet, la Russie a pu, en plusieurs années, récolter assez d’informations digitales importantes pour menacer et dominer l’OTAN.
Une vague d’attaques qui existe déjà depuis 2015, visant à collecter des informations sur les journalistes, politiciens et membres du gouvernement. L’objectif ? Utiliser ces données pour dominer et déstabiliser le pays. Une stratégie qui marche en voyant la déstabilisation créée au sein du gouvernement britannique. Cette menace est même susceptible d’affecter les futures élections.
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Une tâche pour le peuple, mais aussi pour le gouvernement. En effet, l’amélioration de la cybersécurité repose avant tout sur une collaboration et une relation de confiance entre les grandes institutions et le peuple. Une stratégie que le gouvernement semble appliquer davantage, demandant au public d’apporter leurs contributions.
Ainsi, diverses mesures de prévention sont mises en place en Europe, permettant de détecter les menaces numériques. Toutefois, force est de constater que l’évolution des techniques de cyberattaque rend cette tâche difficile pour le grand public.
Face à la masse de données à traiter et analyser, il est nécessaire de redoubler de moyens pour assurer une vie numérique plus sûre.
